Histoire Decoiffante D'une Paire De Ciseaux Et D'un Champs De Tournesols.
N'y tenant plus, et apres plusieurs mois de remises au lendemain, je m'étais enfin decidé à faire couper cette horrible tignasse qui ornait le haut de mon crane. J'avais depuis longtemps cessé de bander sur les cheveux longs, et je commencais à ne plus supporter ce tas de poils aimant à se baigner dans mon café, ou menacant de prendre feu à chaque clope que j'allumais.
Je me levais donc un matin de bonne heure et partait en quete d'un coupeur de tifs ouvert. Je n'eu pas bien loin à aller, puisque l'un de ces abattoirs capillaires venait juste d'ouvrir au coin de ma rue. J'avais eu le temps de passer devant déjà une bonne centaine de fois, géneralement le soir, en revenant de l'épicerie les bras chargés de bouteilles, et chaque fois je m'étais dit qu'il serait temps d'aller admirer le coup de ciseaux qu'on y donnait. j'allais bientot être fixé.
Je m'arrete sur le pas de la porte, jetant un oeil aux horaires affichés sur le mur avant d'entrer. Un salon de coiffure comme il en existe des tas, assez petit. Une grande glace longe le mur opposé à la porte, et deux sieges lui font face. A ma gauche, le coin d'attente, trois fauteuils noirs et une table basse recouverte de magazines peoples. Une petite radio crachotte je ne sais trop quelle soupe des années 80, et au millieu de tout ca il y a une fille qui ne peut reprimer une petite moue en me voyant. Faut dire que j'ai pas vraiment une gueule à faire la couverture de ses magazines de concierges, et mes fringues auraient bien besoin d'un nettoyage au carsher. Mais elle fait bien vite disparaitre cette grimace de son visage, pensant sans doute que je ne l'ai pas remarqué, et me demande si je veux une coupe. Question un peu stupide, je me dis, on va rarement chez le coiffeur pour acheter un steack... Je repond toutefois par l'affirmative. Est-ce que je désire un shampoing ? Oui-Da.
Je l'observe discretement pendant qu'elle pend ma veste au porte manteau, avant d'aller chercher cette espece de blouse hideuse qu'ils vous passent avant de se mettre au boulot. Plutot bien foutue. Et jeune. La vingtaine, trente ans peut être, pas plus. Une jolie frimousse et un cul d'enfer. Elle me tend la blouse sans rien dire, et je me dis que dans un porno je serais déjà en train de la baiser derrière le comptoir.
J'enfile ce machin et je la suis vers cette sorte de lavabo muni d'un siège qui ressemble un peu à un instrument de torture moyenageux. Je m'asseois docilement, la laisse me passer une serviette autour du cou, et puis j'appuie ma tete contre le baquet, atendant la suite. Ma jolie coiffeuse fait alors couler de l'eau sur mes cheveux emmelés, y passant sa main libre afin de bien les imbiber. Ils ne tardent pas à se transformer en un tas d'algues épaisses et noires pendant mollement dans la cuvette, en un peu moins gluants. Et elle continue à les demmeler grossierement, sans cesser de les arroser de sa pomme de douche. C'est plutot agréable de se faire tripoter les tifs par une belle jeune fille. Je regrette vaguement de ne pas pouvoir m'allumer un megot...
Quand elle estime que ma touffe est suffisament trempée, ma tortionnaire coupe l'eau et se verse une dose de shampoing sur les mains. Je ne la vois pas faire, mais j'entends le Pshuit gelatineux du liquide s'échapant du flacon, et je l'imagine en train de s'en enduire les mains. Et puis, à l'instant ou je m'y attends le moins, elle commence à l'apliquer sur mes cheveux degoulinants. Le silence regne, troublé seulement par les quelques sons faibles que produisent ses mouvements surs d'eux et delicats. Elle me masse doucement le cuir chevelu, et je sens ses doigts courir le long de mon crane comme autant de fourmis minuscules, et quelques frissons m'agittent furtivement l'echine. Elle fait ca froidement, gardant ses distances. Un vraie pro. Le contact reste purement physique, et se limmite au minimum. Pas le moindre brin de tendresse dans ses caresses. C'est son job, rien de plus. Mais ca me convient.
En fait, j'aime plutot ca. Cette façon qu'elle a de me masser l'occiput de loin, en me regardant de haut. Et je me dis que putain, j'aimerais pas être à sa place. Tripoter les tifs d'un inconnu, d'un vieux degeulasse comme moi. Et sans pouvoir se permettre de l'envoyer chier. Parceque ca fait partie de son boulot, tout simplement. Pauvre petite... Si ca se trouve, elle me hait, et ca me fait un peu bander. J'esaye de ne rien laisser paraitre en fixant un point vide du plafond, et je me dis qu'il faudra que je revienne tandis qu'elle m'astique le poil autour des oreilles.
J'entends l'eau couler à nouveau, et elle entreprend de rincer ma chevelure pleine de mousse. Le liquide spongieux s'échappe lentement dans l'evier, dégageant un doux parfum de lavande. Ou peut etre de violettes. J'ai jamais été très habile de mon nez, et encore moins en ce qui concerne les fleurs. Mais j'aime bien cette odeur. Elle me penetre par les pores et se fait omnipresente et j'ai l'impression qu'elle n'émane pas du shampoing, mais de cette fille derrière moi, cette si jolie fille qui me nettoie les poils du crane. Un de ces jours, je me dit, je la baiserais dans un champs de tournesols. Elle coupe une fois de plus le debit d'eau, s'empare du flacon de savon pour tifs, et c'est reparti pour un tour. Gratuit.
Je me laisse aller dans le fauteuil et savoure la caresse de ses mains delicates, et j'imagine les miennes en train de lui tripoter les seins. Je laisse échapper un pet sonore, et je sens ses doigts se crisper, sans toutefois cesser leur activité. Maintenant j'en suis sur, elle me hait. Je bande. Je n'ai aucune chance avec ce genre de filles, et je crois bien que c'est ce qui m'excite un peu.
Nous sommes absolument seuls dans ce salon de coiffure. On pourrait presque parler d'intimité, si elle ne s'acharnait pas à réduire notre relation à un simple massage de viande. Des idées pornographiques fusent d'un peu tout les coins de mon cerveau, et je ne peux reprimer un petit sourire amusé. Je sais tres bien que je ne la baiserais pas, et à vrai dire je n'ai même pas envie d'essayer. Ses caresses à vendre me suffisent. Les fantasmes à la con, c'est une façon comme une autre de passer le temps.
La radio vomit toujours sa soupe discoïde, stimulant mes scenarios érotiques, tandis qu'elle s'applique sur la deuxieme couche. Je m'en remet à elle, lui laisse les pleins pouvoirs. Mon sort est entre ses mains, et il le restera jusqu'à ce qu'elle decide de me foutre dehors.
Je me demande si elle à l'impression de se prostituer... Ce serait dommage. Si jeune, si belle et si pleine de vie, et en arriver la... Je suis vraiment une enflure, et je crois que c'est ce qui me plait tant chez moi. Je me demande si elle à la moindre idée du genre de saloperies que je suis en train de me raconter, ou si elle me prend simplement pour une espece de paumé à qui sa mere n'a jamais appris le sens du mot "hygiene". Si ca se trouve, elle éprouve même une certaine pitié à mon egard. Si elle savait...
Un mot, un seul, de sa part et je l'épouse. Un mot de la mienne et elle me botte le cul. J'aime bien ce genre de situation, aussi je me garde bien d'ouvrir la bouche. Je me contente de tendre l'oreille au bruits de succion produit par la mousse shampouineuse qui me sert de couronne.
Et puis elle coupe l'eau pour de bon cette fois, estimant sans doute qe ma tignasse est maintenant assez propre pour y fourrer sa paire de ciseaux. Elle me jete une serviette sur le crane et le seche un peu, avant de me demander de me lever.
Je m'execute, et je lui demande combien je lui dois.
-"Comment ? Mais euh.. ca n'est pas terminé..."
La pauvre ne pige rien. Elle s'attendait, en toute logique, à ce que je la suive gentiment jusqu'à la grande glace murale et que je m'asseois dans un nouveau fauteuil pour qu'elle puisse enfin exercer son veritable boulot. Mais j'en ai decidé autrement, et comme on dit, le client est toujours roi.
Je dois avouer que je suis plutot content de moi sur ce coup la. J'insiste donc, et je lui dit que si si, son calvaire est terminé, et que merci bien, c'était parfait et à une prochaine fois, tout en otant la blouse hideuse qu'elle m'a passé quelques minutes plus tot. Elle me regarde bouche bée, me prenant sans doute pour une sorte de taré, et je me dit qu'elle a vraiment de beaux yeux. Je vais chercher ma veste pendue au porte manteau et je sors de la boutique, en laissant un cheque non rempli sur le conmptoir.
Après ça je suis rentré chez moi, je me suis rasé à la tondeuse et je me suis masturbé en repensant à ces jolies mains sur mon crane et à des champs de tournesol.
Je me levais donc un matin de bonne heure et partait en quete d'un coupeur de tifs ouvert. Je n'eu pas bien loin à aller, puisque l'un de ces abattoirs capillaires venait juste d'ouvrir au coin de ma rue. J'avais eu le temps de passer devant déjà une bonne centaine de fois, géneralement le soir, en revenant de l'épicerie les bras chargés de bouteilles, et chaque fois je m'étais dit qu'il serait temps d'aller admirer le coup de ciseaux qu'on y donnait. j'allais bientot être fixé.
Je m'arrete sur le pas de la porte, jetant un oeil aux horaires affichés sur le mur avant d'entrer. Un salon de coiffure comme il en existe des tas, assez petit. Une grande glace longe le mur opposé à la porte, et deux sieges lui font face. A ma gauche, le coin d'attente, trois fauteuils noirs et une table basse recouverte de magazines peoples. Une petite radio crachotte je ne sais trop quelle soupe des années 80, et au millieu de tout ca il y a une fille qui ne peut reprimer une petite moue en me voyant. Faut dire que j'ai pas vraiment une gueule à faire la couverture de ses magazines de concierges, et mes fringues auraient bien besoin d'un nettoyage au carsher. Mais elle fait bien vite disparaitre cette grimace de son visage, pensant sans doute que je ne l'ai pas remarqué, et me demande si je veux une coupe. Question un peu stupide, je me dis, on va rarement chez le coiffeur pour acheter un steack... Je repond toutefois par l'affirmative. Est-ce que je désire un shampoing ? Oui-Da.
Je l'observe discretement pendant qu'elle pend ma veste au porte manteau, avant d'aller chercher cette espece de blouse hideuse qu'ils vous passent avant de se mettre au boulot. Plutot bien foutue. Et jeune. La vingtaine, trente ans peut être, pas plus. Une jolie frimousse et un cul d'enfer. Elle me tend la blouse sans rien dire, et je me dis que dans un porno je serais déjà en train de la baiser derrière le comptoir.
J'enfile ce machin et je la suis vers cette sorte de lavabo muni d'un siège qui ressemble un peu à un instrument de torture moyenageux. Je m'asseois docilement, la laisse me passer une serviette autour du cou, et puis j'appuie ma tete contre le baquet, atendant la suite. Ma jolie coiffeuse fait alors couler de l'eau sur mes cheveux emmelés, y passant sa main libre afin de bien les imbiber. Ils ne tardent pas à se transformer en un tas d'algues épaisses et noires pendant mollement dans la cuvette, en un peu moins gluants. Et elle continue à les demmeler grossierement, sans cesser de les arroser de sa pomme de douche. C'est plutot agréable de se faire tripoter les tifs par une belle jeune fille. Je regrette vaguement de ne pas pouvoir m'allumer un megot...
Quand elle estime que ma touffe est suffisament trempée, ma tortionnaire coupe l'eau et se verse une dose de shampoing sur les mains. Je ne la vois pas faire, mais j'entends le Pshuit gelatineux du liquide s'échapant du flacon, et je l'imagine en train de s'en enduire les mains. Et puis, à l'instant ou je m'y attends le moins, elle commence à l'apliquer sur mes cheveux degoulinants. Le silence regne, troublé seulement par les quelques sons faibles que produisent ses mouvements surs d'eux et delicats. Elle me masse doucement le cuir chevelu, et je sens ses doigts courir le long de mon crane comme autant de fourmis minuscules, et quelques frissons m'agittent furtivement l'echine. Elle fait ca froidement, gardant ses distances. Un vraie pro. Le contact reste purement physique, et se limmite au minimum. Pas le moindre brin de tendresse dans ses caresses. C'est son job, rien de plus. Mais ca me convient.
En fait, j'aime plutot ca. Cette façon qu'elle a de me masser l'occiput de loin, en me regardant de haut. Et je me dis que putain, j'aimerais pas être à sa place. Tripoter les tifs d'un inconnu, d'un vieux degeulasse comme moi. Et sans pouvoir se permettre de l'envoyer chier. Parceque ca fait partie de son boulot, tout simplement. Pauvre petite... Si ca se trouve, elle me hait, et ca me fait un peu bander. J'esaye de ne rien laisser paraitre en fixant un point vide du plafond, et je me dis qu'il faudra que je revienne tandis qu'elle m'astique le poil autour des oreilles.
J'entends l'eau couler à nouveau, et elle entreprend de rincer ma chevelure pleine de mousse. Le liquide spongieux s'échappe lentement dans l'evier, dégageant un doux parfum de lavande. Ou peut etre de violettes. J'ai jamais été très habile de mon nez, et encore moins en ce qui concerne les fleurs. Mais j'aime bien cette odeur. Elle me penetre par les pores et se fait omnipresente et j'ai l'impression qu'elle n'émane pas du shampoing, mais de cette fille derrière moi, cette si jolie fille qui me nettoie les poils du crane. Un de ces jours, je me dit, je la baiserais dans un champs de tournesols. Elle coupe une fois de plus le debit d'eau, s'empare du flacon de savon pour tifs, et c'est reparti pour un tour. Gratuit.
Je me laisse aller dans le fauteuil et savoure la caresse de ses mains delicates, et j'imagine les miennes en train de lui tripoter les seins. Je laisse échapper un pet sonore, et je sens ses doigts se crisper, sans toutefois cesser leur activité. Maintenant j'en suis sur, elle me hait. Je bande. Je n'ai aucune chance avec ce genre de filles, et je crois bien que c'est ce qui m'excite un peu.
Nous sommes absolument seuls dans ce salon de coiffure. On pourrait presque parler d'intimité, si elle ne s'acharnait pas à réduire notre relation à un simple massage de viande. Des idées pornographiques fusent d'un peu tout les coins de mon cerveau, et je ne peux reprimer un petit sourire amusé. Je sais tres bien que je ne la baiserais pas, et à vrai dire je n'ai même pas envie d'essayer. Ses caresses à vendre me suffisent. Les fantasmes à la con, c'est une façon comme une autre de passer le temps.
La radio vomit toujours sa soupe discoïde, stimulant mes scenarios érotiques, tandis qu'elle s'applique sur la deuxieme couche. Je m'en remet à elle, lui laisse les pleins pouvoirs. Mon sort est entre ses mains, et il le restera jusqu'à ce qu'elle decide de me foutre dehors.
Je me demande si elle à l'impression de se prostituer... Ce serait dommage. Si jeune, si belle et si pleine de vie, et en arriver la... Je suis vraiment une enflure, et je crois que c'est ce qui me plait tant chez moi. Je me demande si elle à la moindre idée du genre de saloperies que je suis en train de me raconter, ou si elle me prend simplement pour une espece de paumé à qui sa mere n'a jamais appris le sens du mot "hygiene". Si ca se trouve, elle éprouve même une certaine pitié à mon egard. Si elle savait...
Un mot, un seul, de sa part et je l'épouse. Un mot de la mienne et elle me botte le cul. J'aime bien ce genre de situation, aussi je me garde bien d'ouvrir la bouche. Je me contente de tendre l'oreille au bruits de succion produit par la mousse shampouineuse qui me sert de couronne.
Et puis elle coupe l'eau pour de bon cette fois, estimant sans doute qe ma tignasse est maintenant assez propre pour y fourrer sa paire de ciseaux. Elle me jete une serviette sur le crane et le seche un peu, avant de me demander de me lever.
Je m'execute, et je lui demande combien je lui dois.
-"Comment ? Mais euh.. ca n'est pas terminé..."
La pauvre ne pige rien. Elle s'attendait, en toute logique, à ce que je la suive gentiment jusqu'à la grande glace murale et que je m'asseois dans un nouveau fauteuil pour qu'elle puisse enfin exercer son veritable boulot. Mais j'en ai decidé autrement, et comme on dit, le client est toujours roi.
Je dois avouer que je suis plutot content de moi sur ce coup la. J'insiste donc, et je lui dit que si si, son calvaire est terminé, et que merci bien, c'était parfait et à une prochaine fois, tout en otant la blouse hideuse qu'elle m'a passé quelques minutes plus tot. Elle me regarde bouche bée, me prenant sans doute pour une sorte de taré, et je me dit qu'elle a vraiment de beaux yeux. Je vais chercher ma veste pendue au porte manteau et je sors de la boutique, en laissant un cheque non rempli sur le conmptoir.
Après ça je suis rentré chez moi, je me suis rasé à la tondeuse et je me suis masturbé en repensant à ces jolies mains sur mon crane et à des champs de tournesol.
1 Comments:
les coiffeuses de chez tchip elles sont trop moches croyez pas ces conneries
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