Wednesday, July 26, 2006

RAAAH PUTAIN

Bon, ce con de blog merde au niveau de... Hmm... appelons ca la mise en page, et j'ai foutrement grave la flemme d'arranger ca. 3 Branlettes sera donc encore plus chiante à lire, et si ca t'emmerde alors et bien va donc fourrer ta queue dans un mixer, tu m'en diras des nouvelles.
Et puis demain promis j'essaye de bouger mon cul et de faire quelque chose d''à peu près constructif.

3 Branlettes

J'avais un pote qui revait de sucer sa propre queue. Pas franchement original, mais je suppose que tout le monde a eu ce genre de fantasmes à la con. Quand je lui demandais si c'était pas un peu révelateur d'une homosexualité refoulée, il me répondait que non, justement, et que c'était même le coté genial de la chose : L'autofellation, c'était une manière de faire un truc de pédé, mais sans être pédé. Mouais... J'ai jamais trop pigé ce qu'il voulait dire pas la.
Toujours est il qu'un jour ce type m'a appelé pour me dire qu'il avait enfin réussi. Il avait trouvé un moyen, je ne sais trop comment, de se lecher le gland tout en se masturbant. Je suppose qu'il devait se retrouver dans une position plus ou moins foetale, ou un truc à peu pres aussi grotesque, plié en deux au point de pouvoir s'enfiler l'engin dans la bouche. Il s'agitait ensuite le prepuce, le faisant aller et venir entre ses levres serrées, tout en bavant abondement sur l'ensemble. Rien de bien innovant au final ; Rien de plus que le bon vieux decalottage-recalotage habituel, juste un peu plus humide et juste un peu plus ridicule. Mais selon lui, c'est genial : Bon, bien sur, ce n'est pas le confort absolu, mais si tu fermes les yeux et que tu fais ca comme il faut, alors t'auras vraiment l'impression de te faire sucer par un merlan. Cool... J'ai raccroché pendant qu'il m'expliquait qu'il avait atteint l'orgasme en se frottant l'uretre avec le bout du nez.
J'ai repensé à cette histoire quelques jours plus tard, alors que je m'appretais à me palucher de la facon la plus conventionelle qui soit. Et je me suis dit qu'apres tout, ce serait toujours moins naze que de se tapper un vrai poisson.
J'ai du passer une bonne heure à tenter de m'avaler moi même ; j'ai essayé de faire comme il m'avait dit, en m'asseyant dans un escalier, mais je n'avais rien pigé à sa methode ; j'ai essayé debout, assis sur une chaise, par terre ; je me suis couché sur le dos et j'ai tenté d'envoyer mon bassin juste au dessus de mon visage, en esperant que ma queue qui commencait déjà a ramollir finirais par pendre docilement jusque dans ma bouche ; je me suis plié en deux, en trois, en quatre...
Et je n'ai réussi qu'à me niquer le dos. Je suis allé me pieuter en frottant ma colonne tordue et en esperant qu'un jour ce connard s'étoufferait en se jutant dans une narine.

Un autre ami à moi avait gagné un nounours dans une fête foraine. Comme il n'avait pas été foutu de trouver une fille à qui l'offrir, il l'avait donc ramené chez lui. J'ai vu la bete : Un con d'ours en peluche tout ce qu'il y de plus classique, avec l'air niais qui plait aux filles et aux momes, deux grands yeux moches en plastique et un joli ruban jaunatre noué autour du cou.
Le genre de merdes que les cons definissent comme "mignon". L'outil de drague parfait, encore mieux qu'une guitare puisque tu n'as même pas besoin d'apprendre à en jouer. Mais les meilleurs plans drague ne sont d'aucune utilité aux vrais losers...
De retours chez lui, mon ami n'avait même pas réussi à se pinter suffisement pour oublier sa soirée de merde, et il trainait toujours avec lui cet attrape-gonzesses defectueux. Ses potes l'avaient baptisé "Teddy", en reference à la chanson d'Elvis. Ouais, ses potes manquaient cruellement d'imagination. Faut dire qu'ils avaient tous trouvé chaussure à leur pied ce soir la. Pour ca que la soirée n'avait pas été longue, et les verres peu nombreux. Ils avaient tous mieux à faire, tous sauf lui. Ils avaient fini par le planter la, chacun raccompagnant sa conquete chez elle, et plus si affinités. Lui, il était rentré avec Teddy.
Je suppose qu'il a imaginé ca comme une sorte de vengeance. Puisque tout le monde allait tirer son coup sauf lui, puisqu'une fois de plus il avait été trop branque, trop nul et trop trouillard pour trouver l'ame soeur d'un soir parmi toutes ces nanas qui n'étaient venu que pour ca, et bien, Teddy allait devoir y passer.
De retours chez lui, donc, mon ami est allé chercher une paire de ciseaux et s'est mis à l'ouvrage. Une opération delicate, qui allait probablement repousser les limites encore floues de la chirurgie, et révolutionner le monde de la medecine en general. Pas mal, pour un mec qui s'était arreté au brevet des colleges. Notre spécialiste de l'anatomie pelucheuse perca d'abord un trou quelque part entre les deux jambes courtes et pataudes de son patient, de la pointe du ciseau. Il introduit ensuite une des lames dans l'orifice qu'il venait de pratiquer, et incisa toute l'entrejambe de l'ourson jusqu'alors assexué. Quand il eu obtenu une fente qu'il jugea satisfaisante, il commenca à enlever la peluche blanche et cottoneuse qui en sortait, nettoyant minutieusement la plaie. Il enleva aussi un peu de celle qui se trouvait à l'interieur, jusqu'à ce qu'il puisse toucher du doigt la couture qui reliait la tete au corps. Il fignola encore un peu, en répartissant bien la peluche qui restait de chaque coté, formant ainsi une sorte de tunnel menant jusqu'au cou de l'ours, et puis il reposa ses ciseaux et contempla son oeuvre. Mouais. Pas franchement bandant, mais ca ferait l'affaire. L'opération s'était très bien passé, nette et sans bavures. Du travail de pro. Tout était pret ; Il était maintenant temps de passer à l'acte.
Il se passa d'abord quelques videos pornos, histoire de se mettre en condition. Traci Lord et Nancy Suiter n'eurent aucun mal à transformer sa queue en pylone électrique. Il enfila alors une capote, tacha de ne pas debander en deroulant l'anneau de latex gluant, et se tourna vers Teddy.
Il le penetra lentement, et fut rapidement bloqué par un amas de coton pelucheux mal placé. Il dégagea la voie et se remit en place. Il s'enfonca la moitié de la queue à l'interieur du nounours et fut bloqué de nouveau au niveau de la tête, la couture de cette derniere étant trop étroite. Mais ça suffisait. Il entama alors un lent mouvement de va et vient, brisant à jamais le pucelage de l'innocent Teddy. Il se masturba longuement ainsi, prenant son temps et savourant cette sensation nouvelle ; Ca ne valait probablement pas un vagin veritable, mais c'était foutrement mieux que les sempiternels allers-retours à la main droite. Le fait de penetrer réellement, d'entrer et de sortir, pour de bon, d'un étroit fourreau phallique, rendait la chose bien plus agréable, excitante, réaliste : il ne se branlait plus, il ne se contentait plus de s'astiquer lubriquement le poireau, mais il baisait bel et bien quelque chose, et si ce quelque chose n'était surement pas aussi bandant qu'une vraie gonzesse, il ne risquait pas d'avoir la migraine ou d'être décu par sa performance. Lui qui avait toujours refusé l'idée de claquer de la thune dans une poupée gonflable, il venait de s'en fabriquer une, et elle n'était pas plus laide que celles qu'on trouve dans les sex shops. Juste un plus petite, et avec un peu moins d'options quand au choix de l'orifice... Comme si on avait besoin d'une telle sophistication pour baiser une pute en caoutchouc.
Il continua à besogner Teddy pendant un moment, s'amusant à changer regulierement de position. La petite taille de l'ourson rendait parfois la chose inconfortable, mais il s'en accomodait. Levrette, missionnaire, il s'essaya à tous les classiques. Il baisait Teddy et Teddy le regardait de ses grands yeux en platique. L'aspect enfantin de la peluche lui donnait l'impression d'être un pédophile, de souiller la pureté même, de deflorer l'innocence, et il adorait ca : Il était un vieux dégeulasse violant une gamine de huit ans, il était un pere de famille vicelard abusant de sa propre fille ; Il baisait un putain de bisounours, il baisait la pureté, il baisait l'innocence et il baisait le fruit defendu, l'interdit, les tabous : il baisait sa propre frustration ; Il baisait celle à qui il aurait du offrir cet ours à la con, il baisait toutes ces filles qu'il n'avait jamais eu, toutes celles qui n'avaient pas voulu de lui et toutes celles qu'il n'avait jamais osé aborder ; Il baisait toutes les gonzesses, toutes des salopes, toutes celles qu'il avait connu, toutes celles qu'il avait vu, dans la rue, dans ses reves, dans les films, les grosses les moches les blondes les brunes les jolies les bombes les jeunes les vieilles et puis aussi les pom pom girls des films americains, toutes des salopes, toutes, même sa mere, même la voisine du dessus, les mortes aussi et celles qu'étaient pas encore nées, toutes, l'ame soeur, le grand amour, elles étaient toutes à lui, lui qui baisait comme un dieu, lui qui avait un succès fou, lui qui accumulait les conquetes et collectionnait les numeros de telephones, lui qui savait si bien parler aux femmes toutes des salopes, toutes, et il baisait un putain d'ours en peluche. Il se demanda s'il baiserait aussi la mere Thatcher juste avant de jouir.
C'avait été la meilleure branlette de sa vie. Jamais il n'avait autant pris son pied. Quand l'impression de vide qui l'avait submergé se dissipa, il se retira, ota sa capotte, fit un neud, contempla un instant le foutre laiteux qui stagnait au fond du reservoir et la jeta. Il se coucha et s'endormit aussitot, en serrant Teddy contre son coeur.

J'étais en train de me réveiller à petits coups de clope et de café quand j'ai repensé à ces deux mecs. Je ne valais pas mieux qu'eux, simplement je ne m'en étais pas encore rendu compte. La branlette occupait peut être la moitié de mon temps, mais jamais je n'avais eu ce genre de fantasmes tordus. Cette bonne vieille demoiselle aux cinq doigts m'avait toujours amplement suffi, et l'idée même de changer de main ne s'était que rarement presentée. Aussi le souvenir de leurs histoires m'arracha un sourire narquois et vaguement degoutté, que je noyais bientot sous une gorgée de café.
On était en Juin et l'été préparait son retours triomphal, en nous balancant des appercus réguliers de ce qu'allait être la prochaine fournaise saisoniere. Les T-Shirts refaisaient surface et les cons retrouvaient le chemin des plages, ou ils aimaient s'entasser et se faire cuire par les rayons brulants du soleil. Une sorte de barbecue géant, sauf que les merguez se rendaient elles mêmes sur le bucher.
Et puis on redecouvrait le corps des filles, qui allégeaient leur tenues et rappelaient ainsi à ceux qui l'auraient oublié à quel point elles pouvaient être jolies. Les jupes et les debardeurs détronaient enfin les pantalons et pull-overs qui avaient regné tout l'hiver, et les parraient toutes d'une aura de fraicheur et de sensualité - les filles suent probablement autant que nous, mais c'est marrant, sur elles on dirait que ca se remarque moins. Certaines même, qu'on avait trouvé moches jusqu'alors, se révelaient finallement pas si mal foutues, et elles envahissaient les rues, profitant du beau temps pour flaner en ville, court-circuitant la machine à penser de tout jeune male normalement constitué. Je me demande parfois si elles sont conscientes du bordel monstre que l'apparition d'une simple bretelle de soutien-gorge peut provoquer chez un representant du sexe fort... Fort mais esclave de ces putains d'hormones, qui après l'avoir déjà torturé toute l'année à grand coups d'érections spontanées et de reves érotiques, redoublent d'efforts au premier centimetre carré de peau nue rencontré. Il y en a qui trouvent ca agréable, et qui se disent que ca y'est, les beaux jours arrivent enfin... Moi j'ai toujours detesté ca.
Je tire sur mon megot et chasse de ma main libre une mouche qui n'a rien trouvé de mieux a foutre qu'escalader mon bras. Elles sont revenues, elles aussi. Ouais... C'est ca l'été : Le grand retours du soleil, des filles et des mouches. La revanche de la nature sur l'homme. Combien sont-ils, ceux qui vivent avec cette certitude de l'avoir vaincue, de la dominer, cette pute nature, alors qu'ils ne sont même pas foutus de refrener leurs instincts les plus primaires ?
Manger, chier et baiser... Deux milles ans d'evolution, et au final on en est toujours au même point. Tout au plus a t'on réussi à convertir nos pulsions sexuelles en outils de marketting... Tout ce que Freud à pu raconter sur le refoulement de nos desirs forme la base de la publicité moderne. Achette ce parfum et tu baisera Liv Tyler. Paye toi ce futal et tu sera membré comme Rocco. Ecoute ce disque et Britney Spears te taillera une pipe. Il faut avoir bandé une fois devant les mannequins d'une boutique de fringues pour comprendre jusqu'ou ca peut aller. Freud, nique ta mère.
J'avale encore une gorgée de goudron et je chasse une autre mouche en lui recrachant la fumée dessus. Ces petits tas de poils ailés s'aglutinent partout. Elles sont une dizaine à se promener sans but tournant en rond sur toute la surface de la table. Quand l'idée leur vient (Si l'on peut appeler ca une idée), elles s'envolent pour atterir quelques centimetres plus loin, et puis elles reprennent leur déambulation, grotesque et dérisoire. Insignifiantes. Répugnantes...
Une armée de zombies necrophages errant sur les terres désolées d'une table de jardin. Un banc de cretins grillant sur une plage de sable fin... L'été arrive.
Je les observe avec cette sorte de dégout fasciné qu'un père doit ressentir en voyant accoucher la mère de son bout de viande. Je n'ai jamais pu sentir ces volatiles, leur abdomen velu, leurs ailes vrombissantes, leur yeux à facettes et leur espèce de trompe vicelarde... Répugnant, ouais, c'est le mot juste. L'escadrille se pavane tout entière sous mes yeux, elle me nargue, pleinement consciente de la haine que je lui porte, et se sachant bien assez rapide pour être à l'abri de ma fureur... Salopes.
Je balance ce qui reste de ma sèche et m'apprete à me lever, quand l'un de ces étrons volants attire brusquement mon attention. Deux, à vrai dire. Deux mouches à merdes en train de copuler à l'autre bout de la table, où je ne les avais pas remarqué. De loin, on pourrait croire qu'il s'agit en fait d'une seule et même mouche, énorme et bossue, reine mutante de ce tas d'insectes immondes. Mais je distingue nettement les corps mélés des deux fornicateurs, l'un prenant l'autre en une parodie de levrette. Putain... je ne savais même pas que ca baisait, ces trucs la. On apprend de ces choses, en glandant sous un beau ciel estival...
Je m'approche doucement, histoire de voir comment elles s'y prennent. Ce n'est pas bien different de chez nous, à peine plus futile, ridicule et vulgaire que toutes ces jaquettes classées X. Je me demande si le sexe a la même signification, la même importance à la fois niée et sublimée au sein de la societé des mouches que dans la notre... S'accrochent-elles à la baise comme à un échapatoire, une façon d'oublier leur condition de simple mortelles le temps d'un orgasme libérateur ? Considèrent-elles leur dépucelage comme un rite initiatique symbolisant leur passage à l'age adulte ? Leur arrive t-il de se masturber ? Surement que non. Ces sacs à merde volants ne font même pas la difference entre sexualité et reproduction. Comportement purement instinctif, pas un gramme de reflexion ou de desir dans ce qui leur tient lieu de cervelle. Mais la scene est plutöt amusante, d'un certain point de vue ; C'est un peu comme si un type qui se mettait a bander dans la rue se tappait alors la première gonzesse qu'il y croiserait, celle-ci lui presentant sa croupe sans se faire prier... Et ils s'y mettraient comme on traverse la route ou qu'on poste une lettre : Un acte banal, normal, naturel, au millieu de tous ces gens qui s'en foutraient comme de leur premiere erection. La Mouche Humaine... Ca ferait un bon synopsis pour un remake porno de Zola.
Glen besogne Glenda (je leur ai donné des petits noms histoire de faire une difference, de reconnaitre les hommes des femmes. Ces animaux de merde n'ont même pas de nichons... A se demander s'ils ne sont pas tous gays), et Glenda n'a pas spécialement l'air d'aimer ça. Elle est passive, immobile. Pas de cris, pas de tremoussements, ni de regards en biais à la camera. C'est ce que j'aime avec l'amateurisme : les gonzesses n'en rajoutent pas. Ou alors Glen est un gros nul. Un gros nul qui baise. Connard... Glen se tappe Glenda et moi je crois que je suis en train de bander.
Ouais. La bosse de mon caleçon enfle au fur et à mesure que l'hémoglobine afflue à l'interieur des corps caverneux. Je bande bel et bien. Je bande devant Glen et Glenda, devant le couple le plus laid de toute l'histoire de la baise. Le plus dégeulasse des urinoirs déborderait d'erotisme à coté de ce que j'ai sous les yeux et je bande comme un ane. Même les mannequins des boutiques de fringues ne m'ont jamais fait autant d'effet...
Je me sens comme un voyeur qui surprendrait ses voisins en pleine partie de jambe en l'air, à ceci pres que ces deux là ne se cachent pas. Ce n'est même pas de l'exhibitionisme, simplement ils se foutent royalement de moi et de mon regard. En fait, ils n'en ont même pas conscience. C'est un peu comme si un couple de potes oubliaient soudainement ma presence et se mettaient à baiser devant moi, sans cette gene qu'une simple séance de becottage suffirait à declancher. Je me demande si Glen en a une grosse. Si ca se trouve, proportionellement, cette enflure me bat... Je me demande si Glenda aime les grosses bites, et la mienne gonfle encore un peu. Je me demande à quoi l'histoire ressemblerait si Roméo et Juliette étaient des mouches. Je me demande si les quelques filles (casées) que je frequente apprecieraient d'être comparées à Glenda. Je me demande si Glen aime la fellation, et le bout de mon gland émerge lentement de sous mon caleçon.
La pression de ma queue contre le tissu devenant légerement douloureuse, je la dégage de son envelope 100% Coton, et elle se dresse alors fierement, jaillissant comme un diable de sa boite et saluant les cieux en un garde à vous impeccable. Elle doit être cent fois plus grosse que Glen tout entier, mais si ca se trouve, proportionellement, ce connard me bat... Je me sens un peu con en voyant mon membre se superposer à l'image de cette paire d'amants aux ailes frétillantes. Au premier plan : Mon plus fidèle compagnon, seul et unique partenaire sexuel de toute une vie. En toile de fond : Deux des plus répugnantes créatures de Dieu en train de faire l'amour.
Je me rasseois non loin des deux insectes lubrique, et je me décalotte lentement, sans les quitter une seule seconde des yeux. J'ai le gland déjà tellement gonflé que j'ai du mal à le sortir completement, mais il finit par apparaitre sans trop opposer de resistance. J'entame alors le vieux va et vient des familles, lentement, tres lentement. Je me paluche devant Glen et Glenda qui s'en foutent, et leur indiference m'excite. Ce n'est finallement pas bien different d'un porno. Juste que personne n'a demandé à ces deux mouches de baiser ensemble, et elle ne le font pas dans le but de servir de stimulant masturbatoire à un cinéphile en manque d'affection. Elles n'exposent pas leur corps velus sur Internet ; Elles ne tirent aucun benefice de leur accouplement, et aucune image, aucune vidéo ne sera jamais diffusée. Seul compte l'instant present, et leur étreinte restera éphemere. Je me sens un peu privilegié à l'idée d'être le seul témoin de ce moment d'intimité... Je suis une sorte de VIP qui aurait gagné le droit d'assister à une séance privée et non filmée d'une pornstar de renomée internationale, une partie de baise ou l'actrice, amoureuse, prendrait son pied pour de bon. Un voyeur. Je suis un peu le voisin lubriqUe de Jenna Jameson...
Je me cale sur le rythme de Glen, accelerant la cadence. Decallotage, Recallotage, mon gland s'agite vainement dans le vide et ma queue bat la mesure sous l'impulsion de ma main droite. Dans un sens et puis dans l'autre, une deux une deux, ça va, ça vient et ca semble ne jamais devoir s'arreter. Allers-retours pour l'orgasme. Reservations conseillées... La terre cesse de tourner tandis que je tringle Glenda par procuration, et le monde se résume alors à deux mouches qui baisent et à ma queue qui veille sur elles. Les mannequins des boutiques defringues n'ont jamais existé, et Liv Tyler peut aller se faire foutre. Je m'astique le manche frénetiquement et je ne suis pas sur, mais je crois bien que j'ai entendu Glenda gemir.
Et puis je remarque une troisième mouche, sa soeur jumelle, qui s'est posé à mon insu sur mon membre gonflé de désir et de sang. Une petite tache d'immaculé smegma l'aura probablement attiré... je la regarde, fasciné, monter et descendre le long de ma queue, grimpant parfois sur ma main avant de revenir explorer les replis de mon prépuce. Je ralentis légerement pour ne pas la faire fuir, sans toutefois cesser de me masturber. Glen baise Glenda et moi je vais me taper sa frangine. Celle ci est maintenant en train de me chatouiller le gland de ses pates minuscules. Elle en fait plusieurs fois le tour, s'arretant sur l'urètre pour y fourrer sa trompe avant de repartir. Je la laisse me sucer tout en mattant sa belle famille s'envoyer en l'air.
C'est une veritable orgie. Je ne suis pas un intru ; Les mouches m'acceuillent parmis elles, faisant fi de nos differences. De voyeur, je suis devenu acteur, et un sentiment de plénitude m'envahit tandis que ma si petite partenaire me chevauche. Elles m'acceptent. Je suis une mouche, moi aussi, et je fais l'amour à l'une de leur plus belles gonzesses. Ou bien s'agit-il d'un male ?
Non. Ca ne peut être qu'une femelle. Le genre à poser pour des pubs de lingeries, brune, avec de jolis seins pas trop gros et des yeux bleus à facettes. Et peut être que Glen a la plus grosse mais ca n'a plus d'importance. A t'on déjà vu deux mouches comparer la taille de leurs bites ? Nous sommes à present au dessus de ce genre de considérations. Nous avons atteint un autre monde, une autre dimension, ou plus rien n'a de sens ; Nous ne faisons plus qu'un, et nos corps immateriels fusionnent et forment une grosse boule d'amour, immortel et sublime. L'univers entier se résume à trois mouches et un gland qui s'enfilent, et peu importe qui baise qui, chacun aura sa place au paradis. Nous marchons à grand pas vers l'orgasme et le nirvana. Alléluia... Ca doit être ca le septième ciel.
Le temps se fige et mon coeur explose. Nous copulons à la gloire de tout ce qu'il y a de beau en ce monde. Un monument de tendresse fait de stupre et de luxure. Du doigt, nous effleurons le bonheur et la perfection en un va et vient harmonieux. Les portes du jardin d'Eden sont grande ouvertes, et je me dit qu'il y a un Dieu, finallement. Un Dieu pervers qui à créé l'homme et le peché de chair pour son propre plaisir. Et il se tient devant moi, ce Dieu lubrique, se masturbant lui aussi devant cette orgie contre nature. Nous baisons comme des phoques en rut et moi j'ai des révelations d'ordre mystique...
Ouais. Dieu, moi, les mouches, et puis tout le reste aussi. Tout ce qui vit fornique, d'une manière ou d'une autre, et tout ce qui vit se trouve maintenant au bout de ma queue. Bites Chattes, Pollen, Division Cellulaire... Je suis ouvert à toute forme de sexualité. Je m'accouple au reste du monde en une gigantesque partouze universelle, filant pleins gaz vers le Big Bang et l'extase.
Et puis le monde s'écroule. Petite mort. Renaissance. Je ne sais plus au juste où je suis, je n'ai à vrai dire même plus conscience de ma propre existence. Je ne suis plus qu'une simple bite derivant aux confins de l'univers connu, en quete d'un ame de plus à aimer. Glen et Glenda sont la, et puis aussi Liv Tyler qui se promene toujours sur mon gland. Et nous nous aimons. A la vie à la mort, je viens, ca vient, j'explose. Frappé par la foudre au moment ou je deseperais presque d'atteindre le point de non retours, je vomis mon amour à la face du monde, des litres et des litres d'affection perrimée, déluge de frustration, innondation de soulagement. Je jouis. Je meurs. Alleluiah.
Les mouches s'envolent toutes au moment ou les premieres gouttes de sperme s'abattent autour d'elle, et Glen s'en mange une en plein dans son oeil rouge. Je reste un moment à contempler ma queue qui ramollit sous un beau ciel sans nuages, tout en m'essuyant la main sur mon pantalon.

Sunday, July 16, 2006

ON A PERDU !!!

ALLEZ LES BLEUS, ET MERCI POUR TOUT !

Ouais, et merci surtout à notre Zizou national, franchement, t'as fait fort : Le dernier match, dernier de la coupe mais aussi de toute ta carrière d'exemple à suivre, de modèle d'integration et de leader d'une france blck blanc beur, tu as anfin agi. Ouais. Rien ni personne n'aurait pu démontrer aussi efficacement, et avec autant d'impact, que les sportifs sont des cons. Fair play, respect de l'autre, fratrnité, poignées de mains mon cul ! Tout ceux qui se sont un jour retrouvé sur un terrain le savent bien, la seule chose qui compte c'est de gagner, de lui exploser sa gueule à ce connard d'adversaire. On à gagné, ils ont perdu, et toi gros nul, file dans les buts, ca limitera les degats et t'auras l'impression de jouer. Et comme les pros sont des hommes, apres tout, et bien ils sont tout aussi cons que des abrutis de Terminales ES suant leur leur vide et leur merde avant d'aller traumatiser le prof suivant... Un match de foot, c'est un peu la guerre du viet nam, sauf que ca dure moins longtemps et que les soldats se serrent la main à la fin. Alors merci, zizou, merci à toi d'avoir si brillament montré ce qu'est réellement l'esprit du sport.

A part ca, j'ai une nouvelle souris, avec une molette et qui fait de la lumière, trop coule. Et la merde sur laquelle je planche depuis peut être un mois maintenant (enfin... Disons 4 jours et pas mal de pauses...) devrait bientot être torché. Ca veut dire une jolie nazerie masturbatoire de plus prochainement. Et sinon, je vais pas trop mal, ma bite va bien aussi, et je vais me coucher.