Tuesday, May 30, 2006

Odes Aux Tripes, Au Sang Et A LA Viande.

La pureté n'existe pas. La pureté n'est qu'une illusion, la carotte qu'on a agitté sous le nez des cretins pendants des siecles pour mieux les endormir.
La pureté est l'essence même, un bloc de sainteté que rien ne saurait tacher. Ce genre de trucs n'existent pas : Nous sommes fait de chair, de sang, de tripes et de viande. La matiere humaine attire les mouches, pas les anges. Et rien n'est pur dans la nature. L'air que l'on respire est formé d'oxygene et d'oxyde de carbonne : il n'est pas pur, même au sens chimique du terme.
La pureté, c'est le néant, le rien, le vide.
Le blanc n'est pas une couleur; le blanc est absence de couleur.
La pureté est absence de vie.
Idealiser la pureté, c'est idéaliser la mort, c'est un suicide spirituel. Les saints ne le deviennent que dans la mort... Refouler la vie pour mourir pur, tel est le credo des religions. Une vie sainte est une vie sans pechés. Vivre est un peché. Une vie sainte n'est donc pas ue vie, tout au plus un arret dans le monde. On respecte les morts et on se recueille sur leur tombe, plutot que de se souvenir de la vie qu'ils ont mené : la mort est belle, le néant est beau, la vie est laide, la vie fait peur, la vie est niée. Rechercher la pureté, c'est fuir la vie.
La pureté, c'est la mort, le néant, le rien, le vide.
Le vide n'existe pas. On ne peut que le creer artificiellement.
La pureté, c'est le vide, la pureté est artificielle.
La pureté, c'est une actrice porno : belle, surement, mais froide, fausse, simulée... superficielle... artificielle.
La pureté est un mythe inventé pour se justifier de bander devant une petite fille en robe blanche.
La pureté, c'est ce qui pousse certains curés à violer des gamins de 5 ans.
La pureté, c'est la virginité.
La virginité n'est pas la vie. La vie, c'est une bite et une chatte qui fusionnent : tout le contraire de la virginité. La vie, c'est une histoire de tripes, de sang et de viande.
Et l'amour ? L'amour est passion, la passion est la vie. L'amour n'est pas pur, l'amour est desir et le desir est un peché.
Je veux vivre. Je ne suis pas pur, et ne le serais jamais. Ca tombe bien, je n'en ai aucune envie.
Je ne veux pas d'une robe blanche, je ne veux pas souiller ce qui de toute facon est déjà souillé. La vie est souillure. Nous somme la souillure meme.
La pureté, c'est la perfection.
La pureté, c'est la mort.
La vie, c'est l'imperfection, la mediocrité, c'est la merde et la pisse et le foutre, c'est cette vulgarité, cette sublime laideur qui fait que la vie est réelle, et qu'elle veut la peine d'être vecue.
Vivre, c'est accepter de n'être pas parfait, c'est comprendre qu'on aura beau frotter il restera toujours un peu de crasse, c'est accepter cette crasse, et prendre le tout, le beau le laid le haut le bas le bon le mauvais les hauts les bas, tout, et faire avec.
Si la vie était parfaite, rien ne vaudrait le coup.
La vie est souillure, la vie est impure.
La pureté, c'est la mort.
La pureté, ca pue.

Friday, May 12, 2006

Resultat Du Test CACA PROUT

Echec lamentable. Tant pis. Le Net ca pue. Pour la peine, j'vous dirais pas a quoi c'était censé servir. De toute facon, ca n'avait pas le moindre interet....

Frankie Stein ca poutre grave ta mere, et Evil Devil aussi, et puis plein de trucs, et j'ai decidé de me convertir au vaudou pour me faire une armée de zombie, devenir maitre du monde et me branler dans un paquet de chips. Ca tombe bien, j'aime pas les chips (Ah, CA c'est de la provoc' gratuite, mec).
J'aimerais bien m'appeler Guybrush Threepwood... Avec un nom aussi con, on ne peut que reussir dans la vie... Et puis les poulets en plastique avec une poulie au millieu, c'est quand même la mega classe.
Si tout le monde ecoutait Johnny Cash, j'suis sur que le monde serait plus cool. Mais mes confreres boutonneux preferent Placebo.... Quelle honte, quelle debauche, quelle epoque opaque ! J'vous jure, c'est pas facile tout les jours d'appartenirs à une generation de gros glands. J'dis pas que celle de nos parents ou grands parents étaient mieux... A mon avis, les jeunes ont toujours été cons. Mais bon. On cause que de ce qu'on connait, hein... D'ailleurs, a ce sujet, j'ai réalisé un truc horrible l'autre nuit : J'suis sur qu'il aurait suffit que j'vive dans les années 50-60 pour que je haïsse le rock'n'roll...
Tiens, si jamais un assoifé de culture nantais passe par la, qu'il n'aille surtout pas voir Poeub, une piece de "theatre" qui ne vaut surement pas celle que j'ai posté la semaine derniere... Une immonde sous merde qui joue au pere Ubu, gerbant, deux heures et demies a se faire chier comme un rat mort, devant des provocations sceniques minables qui veulent rien dire (en plus, le mec a poil, il a une petite bite).
Je sais, ce que j'raconte n'au aucun interet. Et alors ? depuis quand les blogs sont fait pour causer de trucs interessants ? J'veux une biere, une tronconeuse et un morceau de papier cul utilisé par elvis.

Bon, j'ai rien de plus a dire, et je vous emmerde, bande de gens.

CACA PROUT

CACA PROUT CACA PROUT CACA PROUT CACA PROUT CACA PROUT CACA PROUT CACA PROUT CACA PROUT CACA PROUT CACA PROUT CACA PROUT CACA PROUT CACA PROUT CACA PROUT CACA PROUT CACA PROUT CACA PROUT CACA PROUT (ceci est un test, rassurez vous chers groupies je n'ai pas perdu l'esprit, et j'aime toujours les raviolis)

Thursday, May 04, 2006

La Bite Imaginaire

Petite scenette théatrale pour trois personnages.

Le Docteur.
Le Patient.
La bite.

La scene se passe à strasbourg (et pourquoi pas besançon ? Parceque j'aime le bourbon).


Le Patient : Docteur, docteur !
Le Docteur : Allons bon, mon bon monsieur, qu'est ce qui vous amenne ?
Le Patient : Docteur, Ca me fait mal au slip quand j'me masturbe !
Le Docteur : Oh. Peut etre qu'il faudrait commencer par la sortir du slip avant de l'astiquer.
Le Patient : Vous voulez que j'la sorte, docteur ?
Le Docteur : GRAND DIEUX NON !
Le Patient : Mais vous m'avez dit que...
Le Docteur : J'ai dit queue moi ? Cela métonnerait fort...
Le Patient : Non, mais vous avez dit que...
Le Docteur : Ah, cela suffit, avec vos insinuations obscenes !
Le Patient : Mais c'est pas moi qui...
Le Docteur : Assez ! Rentrez chez vous et branlez vous la bite a l'air comme tout le monde !
Le Patient : Vous ne voulez donc pas m'examiner ?
Le Docteur : C'est hors de question.
Le Patient : Mais... Et si j'avais le cancer ?
Le Docteur : Dans ce cas mangez une balance.
Le Patient : Mais docteur, je suis vierge...
Le Docteur : C'est pas mon probleme. Tirez vous !
Le patient : Vous etes sur que...
Le Docteur : Votre queue, vous pouvez vous la foutre au cul !
Le Patient : Mais docteur, c'est pas mon cul qui...
Le Docteur : C'est pas votre cul quoi ?
Le Patient : Et ben, c'est pas mon cul qui... Qui...
Le Docteur : Ah ! Dehors, exhibitioniste juif !
Le Patient : Monsieur, vous faites honte a votre profession.
Le Docteur : Et vous, vous puez le smegma seché
Le Patient : Mais enfin, pourquoi diable refusez vous de voir ma bite ?
Le Docteur : Parcequ'elle est petite et moche.
Le Patient : Ca c'est pas vrai.
Le Docteur : Si, c'est vrai.
Le Patient : Comment le savez vous ?
Le Docteur : J'ai fait des etudes, vous savez..
Le Patient : Et alors ?
Le Docteur : Et bien, ca ne vous suffit pas ?
Le Patient : Non
Le Docteur : Dans ce cas, allez vous faire faxer.
Une pause.
Le Patient : Docteur...
Le Docteur : Vous etes encore la ?
Le Patient : Je pense que vous etes un escroc.
Le Docteur : Et moi je pense que vous etes un zeste de citron.
Le Patient : Je pense que vous etes un escroc et un gros con.
Le Docteur : Ah ! Si vous saviez comme je m'en fous.
Le Patient : Et TU VAS VOIR SI J'AI UNE PETITE BITE, CONNARD !!!!
Le Docteur : NON ! MONSIEUR, RANGEZ MOI CA !!!

Entre alors la bite.
Qui n'est pas specialement petite, soit dit en passant.
A Peu pres 1 mètre 80, deux jolies jambes et une grosse paire de nénés bleus.

La Bite : Bonjour Messieur.
Le Docteur : Oh... Bonjour mademoiselle.
Le Patient : Beuh... C'est ma bite, ca ?
Le Docteur (au patient) : Ne soyez donc pas vulgaire, tete a plouc !
La Bite : Docteur, j'ai mal au slip quand je me masturbe.
Le Patient : Hé, Moi aussi, ca tombe...
Le Docteur (le coupant) : Mon dieu, quel dommage ! Venez avec moi, nous allons nous occuper de ca.
(Ils sortent)
Le Patient : Hey ! Ma bite... Docteur, Rendez moi ma bite !!!

L a F I N.

Ps : A tous ceux qui suivent ce blog : Vous puez. Amoureusement votre, je me gausse de votre futile et navrante omelette trop cuite.